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Pour contacter l’Assurance Retraite, le numéro unique est le 3960 (prix d’un appel) ou 09 71 10 39 60. Si vous recevez un appel ou un sms indésirable, vous avez la possibilité de le signaler sur la plateforme dédiée à la lutte contre les spams »

Le site lassuranceretraite.fr fait l’objet de tentatives de détournement de ses logos et contenus à des fins commerciales. Les démarches pour la retraite sont gratuites.

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Qu’est ce que la retraite ?

Les retraites de base et complémentaire constituent 2 régimes de retraite obligatoires (elles sont financées par les cotisations des actifs).

Ces deux types de régimes de retraite calculent la retraite :

  • en fonction des trimestres acquis (retraite de base des salariés)
  • et/ou en fonction des points cumulés (retraite complémentaire des salariés du secteur privé et des travailleurs indépendants, retraite des professions libérales…). Au moment de partir à la retraite, le nombre total de points acquis est multiplié par la valeur du point fixée par les régimes de retraite au moment du départ (c’est ainsi qu’est fixé le montant brut annuel de votre retraite par points).

Les droits accumulés au cours de votre carrière professionnelle sont reversés sous forme de pension, lors de votre départ à la retraite. Vous percevez alors une pension de retraite de base et une pension de retraite complémentaire.

Les caisses de retraite auprès desquelles vous cotisez diffèrent selon votre statut professionnel (salarié, fonctionnaire, agent contractuel de la fonction publique, commerçant, profession libérale, …). Retrouvez rapidement la liste de vos régimes de retraite et leurs coordonnées grâce au service en ligne du site Info Retraite : www.services.info-retraite.fr/service/mes-regimes-de-retraites » Pour l’utiliser, indiquez simplement votre numéro de sécurité sociale, votre nom et votre date de naissance dans le formulaire sécurisé.

Qu’est-ce qu’un trimestre ?

Il y a plusieurs types de trimestres :

  • les trimestres d’activité (ou cotisés) : la validation de vos trimestres d’activité dépend des sommes sur lesquelles vous avez cotisé et non de votre durée de travail (ainsi, vos emplois saisonniers ou stages rémunérés peuvent être pris en compte et vous créer des droits à la retraite). Pour valider un trimestre, vous devez avoir cotisé sur un montant minimum » 
  • les trimestres assimilés ou accordés : certaines périodes non travaillées, bien qu’elles n’aient pas donné lieu à des cotisations vieillesse, peuvent être considérées comme des périodes d’assurance. Il s’agit des périodes de maladie, accident du travail, maladie professionnelle, maternité, service national, chômage, invalidité… Elles permettent de valider des trimestres, mais aucun revenu n’est indiqué sur votre relevé de carrière.
  • les trimestres de majoration d’assurance. Vous pouvez obtenir une majoration de trimestres si vous avez eu ou élevé des enfants, élevé un enfant handicapé, eu à votre charge un adulte handicapé, pris un congé parental ou partez à la retraite après l’âge du taux maximum automatique (aussi appelé “taux plein”, 67 ans pour les personnes nées en 1955 ou après).

Obtenir des renseignements

Pour toute information retraite :

Selon votre situation :

  • si vous êtes ou avez été salarié du secteur privé, contractuels de droit public ou artiste-auteur :
  • si vous êtes ou avez été indépendant :
    • consultez secu-independants.fr. Depuis le 1er janvier 2018, le RSI est supprimé. Ses anciennes caisses régionales, devenues des agences de Sécurité Sociale pour les Indépendants, interviennent pour le compte du régime général, auprès des travailleurs indépendants actifs et retraités. Pour en savoir plus sur le régime de retraite des travailleurs indépendants, vous pouvez également consulter www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F33841 »
  • si vous êtes en situation d’inaptitude au travail ou de handicap :
    • des dispositifs existent pour vous permettre de partir plus tôt à la retraite ou d’améliorer le montant de votre retraite. Consultez ici >>
Consulter son relevé de carrière

Véritable récapitulatif de votre carrière professionnelle, le relevé de carrière vous donne une vision globale des droits que vous avez acquis pour votre future retraite et vous permet de vérifier que l’ensemble de votre carrière a bien été pris en compte (les revenus sur lesquels vous avez cotisés sont reportés sur votre relevé et vous permettent de valider des trimestres).
Vérifiez-le avant d’entamer les démarches pour prendre votre retraite ! Si certaines informations sont incorrectes, vous pouvez demander sa mise à jour à partir de 55 ans.

Vous souhaitez consulter votre relevé de carrière ? Retrouvez-le à tout moment dans votre espace personnel retraite d’info-retraite.fr ou de lassuranceretraite.fr.

Si vous avez des questions sur ce document, consultez la page “Comprendre mon relevé de carrière” »

Obtenir son âge de départ à la retraite

62, 64, 67 ans ? A quel âge pouvez-vous partir à la retraite et à quel âge sera-t-elle à taux maximum ?

Faites le calcul grâce aux services en ligne  :

L’âge légal est fixé à 64 ans pour les personnes nées à partir de 1968. Pour les années de naissance précédentes, l’âge légal est relevé de façon progressive de 62 à 64 ans.

Il est possible de partir avant l’âge légal dans certaines situations : carrière longue (démarrage très jeune), handicap ou incapacité permanente au titre d’une maladie professionnelle, par exemple.

Attention, en plus de votre retraite de base, il faut vous renseigner également auprès de vos retraites complémentaires sur l’âge et le montant de votre retraite.

Pour plus d’informations :

Estimer le montant de sa retraite

Vous souhaitez connaitre le montant de votre future retraite ? Connectez-vous à votre espace personnel sur info-retraite.fr (simulateur M@rel) ou lassuranceretraite.fr, et obtenez des estimations personnalisées du montant de votre retraite selon l’âge de départ sélectionné (si vous êtes travailleur indépendant, utilisez le service « Simuler mes cotisations et droits retraite »).

Pour avoir le taux de calcul maximum, il faut :

  • soit partir à l’âge légal et remplir les conditions du taux plein (= durée d’assurance retraite. Elle correspond à un nombre X de trimestres. Elle comprend les périodes d’activité et certaines périodes d’interruption d’activité, les trimestres de majoration accordés en fonction de certaines situations et les trimestres rachetés. La durée d’assurance permet de fixer le taux de la pension versée et de déterminer si le montant de la pension fait l’objet d’une décote ou d’une surcote). Consultez le nombre de trimestres nécessaires selon votre âge :
  • soit partir à l’âge légal et se trouver dans l’une de ces situations : être en  situation de handicap, d’invalidité ou d’inaptitude

Si vous partez à l’âge légal et que vous ne remplissez pas les conditions du taux plein, votre retraite de base et votre complémentaire subiront une minoration définitive de leur montant (pour bénéficier d’une retraite sans minoration, vous devez poursuivre votre activité pour valider des trimestres, jusqu’à avoir acquis le nombre de trimestres nécessaires ou jusqu’à avoir atteint l’âge du “taux plein automatique”, qui varie de 65 à 67 ans selon votre année de naissance).

 

Attention ! Votre demande de retraite peut avoir des conséquences sur le versement d’autres prestations :

  • vous êtes titulaire d’une retraite de réversion ? Le montant de la retraite de réversion peut être réduit au moment de l’attribution de votre retraite personnelle.
  • vous percevez une pension d’invalidité ? Le paiement de la pension d’invalidité cesse dès l’attribution de votre retraite personnelle.
  • vous percevez l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ? Le paiement de cette allocation cesse quand la retraite est attribuée. Sous certaines conditions, un complément peut vous être versé par la CAF.
  • vous percevez l’allocation chômage, l’ASFNE, le RSA ? Le paiement des allocations ou revenus suivants cesse dès que vous atteignez l’âge légal de la retraite et réunissez la durée d’assurance nécessaire pour la retraite au taux maximum : allocation chômage, allocation spéciale du Fonds national de l’Emploi (ASFNE), revenu de solidarité active (RSA), …
  • vous percevez l’allocation des travailleurs de l’amiante (ATA) ? L’ATA cesse d’être payée à partir de 60 ans si vous totalisez la durée d’assurance pour une retraite au taux maximum (aussi appelé “taux plein”) ou au plus tard à 65 ans, quelle que soit votre durée d’assurance.

  • Pour plus d’infos>>
Interruptions de carrière

Notre système actuel est basé sur le principe de solidarité. C’est pourquoi certaines périodes d’inactivité durant votre carrière professionnelle peuvent être prises en compte pour votre retraite (= majoration de trimestres), même si elles ne donnent pas lieu à des versements de cotisations.

Les périodes d’inactivité professionnelle suivantes, vous permettent de valider des trimestres et servent au calcul de votre retraite :

  • le chômage (maximum 4 trimestres par année civile). Plus d’infos ici »
  • la maladie (maladie, accident du travail, maladie professionnelle; maximum 4 trimestres par année civile)
  • la maternité ou l’adoption (maximum 4 trimestres par année civile). Plus d’infos ici »
  • l’éducation d’un enfant (maximum 4 trimestres par année civile). La CAF cotise pour vous au titre de l’Assurance Vieillesse des Parents au Foyer (AVPF). Plus d’infos ici »
  • le congé parental (majoration de la durée d’assurance égale à la durée effective du congé). Pour un même enfant, on ne peut cumuler cette majoration avec les majorations maternité, adoption et éducation.
  • la prise en charge d’un adulte ou d’un enfant handicapé, atteint d’une incapacité permanente de 80 % (maximum 8 trimestres). Plus d’infos ici »
  • l’invalidité (maximum 4 trimestres par année civile)
  • le service national (maximum 4 trimestres par année civile). Pour valider ces périodes, vous devez avoir cotisé avant ou après votre service national.

Mais ce calcul tient également compte des meilleures années de revenu. Une interruption de travail peut donc avoir une incidence sur cette dimension “revenus/rémunération” et sur le montant de votre retraite.

De plus, ces périodes ne sont pas toujours prises en compte pour le droit à certains dispositifs de retraite, notamment les retraites anticipées.

Retraite progressive

La retraite progressive consiste à percevoir une partie des retraites de base et complémentaire tout en poursuivant l’activité professionnelle à temps partiel.

On peut ainsi réduire son activité et continuer à cotiser pour la retraite définitive.

La plupart des régimes de retraite sont concernés par ce dispositif. Ils le proposent sous certaines condition (avoir au moins 60 ans, justifier d’au moins 150 trimestres d’assurance, travailler à temps partiel).

Pour plus d’informations sur :

Connectez-vous à votre espace personnel retraite pour obtenir plus d’informations personnalisées et renseignez-vous auprès de votre employeur.

Cumul emploi-retraite : être retraité et reprendre une activité
Vous pouvez cumuler vos retraites avec de nouveaux revenus d’activité. Dans la plupart des régimes, les salaires perçus en même temps que votre retraite personnelle sont plafonnés si vous ne remplissez pas certaines conditions (liées à votre âge et à votre durée d’assurance).
En cas de cumul intégral, les périodes cotisées de votre nouvelle activité vous donne droit à une autre retraite. Ces nouveaux droits ne modifient pas le montant de la retraite que vous percevez déjà.

Pour plus d’infos sur les conditions à respecter, consultez :

Demander sa retraite

1 – Renseignez-vous sur les modalités de départ 

  • Vous êtes salarié ou fonctionnaire : renseignez-vous auprès de votre employeur actuel sur les modalités de départ à la retraite, notamment les délais à respecter.
  • Vous êtes demandeur d’emploi : les renseignements sont à prendre auprès de votre conseiller France Travail.
  • Vous percevez le RSA ou si vous êtes en situation de handicap, renseignez-vous auprès de votre CAF.
  • Vous êtes travailleur indépendant ou professionnel libéral : si vous cessez votre activité, vous devez en informer rapidement le Centre de Formalités des Entreprises (CFE). Pour en savoir plus, consultez le site www.cfe.urssaf.fr.
  • Vous êtes chefs d’exploitation ou d’entreprise agricole : vous devez déclarer votre “intention de cessation d’activité agricole” (DICAA) à votre chambre d’agriculture 3 ans avant la date de départ à la retraite. Pour en savoir plus, consultez le site www.msa.fr.

2 – Vérifiez vos informations de carrière 

Il est indispensable d’avoir préalablement vérifié votre relevé de carrière, notamment les éventuelles périodes manquantes et de le mettre à jour le cas échéant.

3 – Faites la demande

Votre demande de retraite doit être effectuée 6 mois avant la date de départ souhaitée.
Dans certains cas, les délais sont différents : 6 à 18 mois avant la date de départ si vous êtes fonctionnaire de l’Éducation Nationale, 6 à 9 mois pour le reste de la fonction publique, au plus tôt 12 mois avant pour les salariés des industries électriques et gazières et de la Banque de France.

La demande de retraite se fait :

  • en ligne, en une demande unique pour tous les régimes (base et complémentaires) sur info-retraite.fr (site internet commun à tous les régimes de retraite) ou sur le site de votre régime de retraite :

C’est simple (formulaire pré-rempli), pratique (pièces justificatives à transmettre en ligne) et sécurisé.

  • ou par papiers pour chaque régime (demandes multiples).
    • Retraite de base :
      • CARSAT et MSA : si vous souhaitez télécharger les formulaires papiers de demande de retraite de base (retraite personnel, veuvage, rachats, majorations, …) ou d’allocations supplémentaires (ASI, ASPA), consultez le site de l’assurance retraite »
    • Retraite complémentaire :
      • AGIRC-ARRCO : vous pouvez télécharger l’imprimé de demande de retraite complémentaire en cliquant ici et le renvoyer à votre caisse de retraite. Vous trouverez les coordonnées de votre caisse en suivant ce lien. Vous pouvez également demander votre retraite complémentaire par téléphone au 0 820 200 189 (service 0,09 € la minute + prix appel). Un conseiller retraite vous aidera à constituer votre dossier de retraite.

Attention : si vous avez travaillé dans plusieurs pays de l’UE ou que vous êtes étranger, consultez www.europa.eu/youreurope/citizens/work/retire-abroad/state-pensions-abroad/index_fr.htm pour connaître vos droits. Vous devez adresser une demande à l’organisme de retraite de votre pays de résidence ou de celui où vous avez travaillé en dernier lieu. Si vous n’avez jamais travaillé dans votre pays de résidence, celui-ci transmettra votre demande au pays où vous avez travaillé en dernier lieu.

4 – Traitement de la demande

Généralement, le calcul de votre retraite complémentaire ne peut être effectuée qu’après obtention de votre notification de retraite du régime de base.

Les délais de traitement ne sont pas communiqués par les régimes, ils dépendent de la complexité de votre dossier.

Constituer un complément de retraite

L’épargne retraite, organisée dans un cadre collectif ou individuel, permet de compléter sa retraite de base et complémentaire obligatoire. Des mesures fiscales et sociales encouragent son développement.

Il existe différentes épargnes en fonction de votre situation professionnelle :

  • Pour les salariés et non salariés : le Plan d’Épargne Retraite  (PER)

Le PER individuel est ouvert à tous. Vous pouvez le souscrire auprès d’un établissement financier ou d’un organisme d’assurance.
Ce nouveau plan succède au PERP et au contrat Madelin, qui ne sont plus proposés depuis le 1
er octobre 2020. Votre épargne accumulée sur le Perp et le Madelin peut être à votre demande transférée sur le PER individuel. Ce contrat donne droit à des avantages fiscaux et vos droits sont transférables vers les autres PER.

Il permet de se constituer un complément de retraite grâce à des cotisations déductibles du revenu imposable, jusqu’à hauteur de 10% de ce revenu. Le montant des cotisations est décidé librement par l’assuré. Après cessation de l’activité professionnelle, la sortie se fait obligatoirement sous forme de rente.

Pour en savoir plus sur le PER, consultez le site service-public.fr »

  • Pour les salariés :

    • le Plan d’Épargne Retraite Entreprise (PERE)

La gestion de ces régimes est confiée à des entreprises d’assurance, des institutions de prévoyance ou des mutuelles. Du fait d’une décision unilatérale de l’employeur, d’une décision collective des salariés, d’un accord ou d’une convention collective, l’adhésion y est obligatoire ainsi que les versements, à un taux de cotisation fixé lors de la création du régime. L’employeur contribue le plus souvent au financement de ces régimes. 

 Les cotisations ou primes versées à titre facultatif à ces plans de retraite d’entreprise sont déductibles de l’impôt sur le revenu.

L’épargne investie donne lieu, au versement d’une rente à partir de l’âge de la retraite

    • le Plan d’Épargne Salariale (PERCO)

Il constitue une épargne collective dans le cadre de l’entreprise. Elle est obligatoire dès lors qu’un accord a été signé. A la différence du PERE, les versements des salariés sont libres. Comme pour le PERE, ils sont abondés par l’entreprise et les fonds sont placés dans le cadre d’une gestion mutualisée, assurée généralement par des banques, des sociétés d’assurance ou des organismes relevant des groupes de protection sociale.

Des incitations fiscales existent pour l’entreprise comme pour le salarié. La sortie peut se faire en rente viagère ou en capital, ce qui rapproche le PERCO d’un placement classique plutôt que d’une épargne retraite. 

Pour en savoir plus sur le PERCO, consultez le site service-public.fr »

  • Pour les professionnels indépendants et libéraux : les contrats “Loi Madelin”

Les contrats « loi Madelin » sont destinés à tous les professionnels indépendants et libéraux : les gérants majoritaires, les commerçants et artisans, les professions libérales et les conjoints collaborateurs.

Le souscripteur doit être à jour de ses cotisations aux régimes obligatoires d’assurance maladie et de retraite. Déductibles des revenus professionnels, les cotisations sont libres, mais doivent s’inscrire dans une fourchette.

Le contrat peut être interrompu en cas de cessation d’activité suite à une liquidation judiciaire ou en cas d’invalidité.

Après cessation de l’activité professionnelle, la sortie se fait obligatoirement sous forme de rente, sauf pour les bénéficiaires d’une pension d’invalidité.

  • Pour les fonctionnaires : le régime PRÉFON

Le régime Préfon est réservé aux fonctionnaires, à leurs conjoints, ainsi qu’à tous ceux ayant appartenu à la fonction publique au cours de leur carrière.

Pour en savoir plus, consultez le site web préfon-retraite.fr »

Allocations et aides aux personnes âgées

Une personne âgée peut bénéficier de différentes aides :

Même si vous remplissez les conditions nécessaires, le versement de ces allocations n’est pas automatique, vous devez en faire la demande. Pour plus d’informations, cliquez sur les liens en vert.

Pour monter un dossier, vous pouvez demander l’aide du Centre Local d’Information et de Coordination près de chez vous (sur le territoire du Pays de Fayence : CLIC AGE 83), du CCAS de votre commune, d’une assistante sociale ou de votre caisse de retraite.

Prélèvement à la source

Depuis le 1er janvier 2019, la retraite est soumise au prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu. L’administration fiscale communique directement aux caisses de retraite le taux de prélèvement à appliquer lors du paiement de votre retraite (si vous n’êtes pas imposable, vous n’avez aucun prélèvement). Ce taux vous est communiqué à l’issue de votre déclaration en ligne, elle figure également sur votre avis d’impôt. Pour plus d’informations, renseignez-vous auprès de l’administration fiscale. 

Certificat de vie et attestation de non remariage

Par souci de bonne gestion, les caisses de retraite doivent pouvoir s’assurer que le versement de vos prestations est maintenu de bon droit. Elles mènent donc des enquêtes en vous adressant des certificats de vie et/ou attestations de non remariage. Les ressources font également l’objet de contrôles périodiques. Ces contrôles peuvent déboucher sur une révision du montant de la pension, sa suppression ou son rétablissement.

Vous ne recevez plus une ou plusieurs de vos pensions de retraite ?

 
Vous n’avez peut-être pas répondu à la campagne d’enquête menée par vos caisses de retraite. De ce fait, votre prestation a été suspendue.

Les paiements ont pu être suspendus si vous avez oublié de renvoyer le certificat de vie et/ou l’attestation de non remariage (une fois par an). Dans ce cas, contactez rapidement vos caisses de retraite concernées.

Vous êtes retraité et vivez à l’étranger ?


Désormais, vous n’avez à fournir qu’un seul certificat de vie (et éventuellement une attestation de situation maritale) par an pour l’ensemble de vos régimes de retraite. Jusqu’à maintenant, chacun de vos régimes vous demandait un justificatif pour continuer à percevoir votre retraite.

Et pour gagner du temps, vous avez maintenant la possibilité d’effectuer cette démarche par internet. Ce service en ligne est accessible depuis votre espace personnel retraite.

Comment renvoyer vos documents par internet ? :

  • photographiez ou scannez vos documents complétés, datés et signés (le certificat de vie et, dans certains cas, l’attestation de situation maritale).
  • connectez-vous à votre espace personnel sur www.lassuranceretraite.fr ou sur www.info-retraite.fr et cliquez sur “Transmettre mon certificat de vie”

Vous avez toujours la possibilité de renvoyer vos documents par voie postale à l’adresse suivante :


Centre de traitement
Retraite à l’étranger
CS 13 999 ESVRES
37 321 TOURS CEDEX 9 – FRANCE

 

Plus d’infos sur www.service-public.fr/particuliers/actualites/A13625 »

Formulaire 11753*02 “Certificat de vie” disponible sur www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/R1411 »

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Contacts et sites utiles

Contacts 

CARSAT SUD-EST

Pour écrire :

CARSAT SUD-EST
35 rue George – 13386 MARSEILLE CEDEX 20
Tel: 3960
www.carsat-sudest.fr

Depuis l’étranger, d’une box ou d’un mobile, composez le 09 71 10 39 60.

Afin d’éviter les périodes de forte affluence, privilégiez vos appels du mercredi au vendredi de 8h à 9h30 et de 11h30 à 14h30

Pour déposer une réclamation ou connaître les coordonnées de votre caisse régionale de la CARSAT consultez www.lassuranceretraite.fr/nos-contacts »


MSA Provence-Azur

Pour écrire :

MSA Provence-Azur
CS 70001 – 13416 MARSEILLE CEDEX 20
Tel: 04 93 72 68 53
provenceazur.msa.fr

Accueil :

MSA – Antenne de Draguignan
143 rue Jean Aicard – 83013 DRAGUIGNAN CEDEX

Accueil du lundi au vendredi de 9h à 12h30 (en accès libre) et de 13h30 à 16h (uniquement sur rendez-vous).


Argirc-Arrco

CICAS (Centre d’Information, de Conseil et d’Accueil des Salariés)
Tel : 0 820 200 189 (du lundi au vendredi de 8h30 à 18h)
www.agirc-arrco.fr

Lieux d’accueil des permanences (sur rendez-vous) : Draguignan,  Saint Raphaël, …


Sites utiles 

Outils utiles :